Effets bénéfiques potentiels du massage tantrique dans le cadre de l'accompagnement des troubles liés à l’andropause
- Nancy Goossens
- 4 août
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 7 jours
Le massage tantrique peut, dans certains cas et dans le respect d’un cadre thérapeutique non médical, contribuer à soulager certains désagréments fonctionnels fréquemment observés chez les hommes traversant une période d’andropause, notamment sur les plans émotionnel, physique et psycho-sexuel.

1. Accompagnement du bien-être sexuel et de la libido et de l'accompagnement des troubles liés à l'andropause.
Le massage tantrique peut favoriser une reconnexion à la sensorialité corporelle et à la dimension énergétique du désir, en dehors de toute recherche de performance ou de résultat et une aide précieuse dans l'accompagnement des troubles liés à l'andropause. Dans ce contexte, il peut contribuer à une meilleure perception de soi et à un rééquilibrage du rapport à la sexualité, parfois mis à mal par les effets de la baisse hormonale.
2. Réduction du stress et amélioration du bien-être psychique
Par des techniques de toucher lent et conscient, ce type de massage induit un relâchement profond du système nerveux parasympathique, ce qui peut contribuer à atténuer certains symptômes tels que l’irritabilité, l’anxiété ou les troubles du sommeil, fréquemment rapportés au cours de l’andropause.
3. Renforcement du lien corps-esprit
Le massage tantrique dans l'accompagnement des troubles liés à l'andropause propose une approche corporelle globale qui peut permettre à la personne massée de restaurer une relation positive à son corps, souvent impactée par les effets de l’âge, les complexes ou la perte d’énergie vitale. Il peut ainsi jouer un rôle dans le maintien de la confiance en soi et du sentiment de vitalité.
4. Amélioration de la circulation énergétique et sanguine
En stimulant en douceur la circulation sanguine et énergétique, notamment au niveau pelvien, ce massage peut favoriser une meilleure oxygénation des tissus et participer au soutien général des fonctions physiologiques, dans la limite de ce que permet une pratique non médicale et non thérapeutique.